ENFANTS NÉS HORS MARIAGE
ENFANTS NÉS HORS MARIAGE
Date de dernière mise à jour : 2019-10-11
Commentaires
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tres bel article, merciMerci infiniment pour avoir lu et aimé cet article ! bonne journée ! bsisous !♥
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excellent viviane j'adore bel écrit bisousMerci beaucoup ! je suis heureuse de voir que cet article que javais envie d'écrire depuis un certain temps, aie touché les gens. Merci de l'avoir lu et d'avoir aimé ! bonne journée! bisous ♥
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très bel article, merci beaucoupMerci beaucoup pour votre lecture, et votre gentil commentaire! bon week-end à vous !
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Je rencontre là un article qui m'interpelle puisque née d'un père ou plutôt géniteur qui a quitté ma mère alors que je n'avais que trois mois et qui ne m'a pas reconnue civilement, seulement à l'église le jour de mon baptême, et dont j'ai découvert la véritable identité aux alentours de mes 50 ans. J'ai été cette ''bâtarde'' comme se plaisait à le rappeler le frère de ma mère, mon oncle qui lui était tout simplement le gendre de mon père dont il avait épousé la fille. Il valait mieux rapporter tous les torts sur sa sœur que sur son beau-père. Cette fille là, ma tante, n'a jamais voulu reconnaître que nous étions demies-sœurs, même avec la preuve qu'apportait mon acte de baptême. J'ai grandi avec cette tâche et encore aujourd'hui j'en garde des séquelles. J'aimerais bien entreprendre mon arbre généalogique si toutefois j'en trouve le temps. J'ai beaucoup apprécié vos écrits. Amitié.Bonjour! Je viens de lire votre commentaire que je trouve très triste. Malheureusement quand on fait de la généalogie ou lorsqu'on échange avec d'autres personnes "généalogistes", on se rend compte que les cas d'abandon et de non reconnaissance étaient fréquents. La mère célibataire dite "fille-mère" à l'époque était jetée en pâture à l’opprobre publique et le malheureux enfant, pauvre petit innocent, était souvent victime de maltraitance de la part de son entourage ou de la société (culture religieuse) en général. Je pense que votre enfance a eu pour conséquence de savoir si bien écrire des émotions que je lis dans vos poèmes. Bonne journée à vous !
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Re-bonjour
Un petit complément à votre (excellent) article.
Je fais en ce moment des recherches sur la famille de mon (seul et unique) ancêtre savoyard.
En Savoie (XVIIIe siècle et plus), les enfants illégitimes étaient "donnés" au père qui devait les prendre en charge. Reste à savoir si le "père" désigné par la parturiente était bien le géniteur.... le mystère demeurera toujours
Ceci est confirmé par les études historiques locales.
Je descends donc d'un garçon "donné'. Mais le père a eu en fait 3 enfants hors mariage avec ... sa cousine germaine. Un an environ après le troisième, il s'est marié avec une autre (sans doute faute d'autorisation pontificale) et elle s'est mariée beaucoup plus tard...
Garçon "donné", il a lui-même eu un fils hors mariage, régularisé cette fois.
A la même époque en Saône-et-Loire, on parle simplement d'enfants "illégitimes". Le nom du père n'apparait pas toujours, parfois il est donné par la sage-femme (a t-on forcé la parturiente pour obtenir un nom ?). La "régularisation" est fréquente : le mariage et le baptême ayant parfois lieu en même temps. Une jolie expression : "sous la toilette" pour désigner ce cas.
Bonne journéeBonjour, Merci de votre lecture de certains de mes articles et des commentaires que vous y avez apportés, car tous les compléments d'information sont bons à prendre pour avancer en généalogie et comprendre la mentalité des siècles précédents, fort différente de notre perception moderne du 21ème siècle. Bonne journée à vous !
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