SHERLOCK HOLMES LE CHIEN DES BASKERVILLE
Auteur Sir Arthur Conan Doyle
Sherlock Holmes et le Docteur Watson, sont eux-aussi des vieux compagnons de mon adolescence. Je situerais la lecture de plusieurs livres ayant pour héros ce fameux détective vers ma période Arsène Lupin, donc entre la période "Alice" (1969-1971) et celle d'Agatha Christie (à partir de 1974).
Le chien des Baskerville est le premier ouvrage que j'ai lu d'Arthur Conan Doyle et surtout mémorisé, car je pense que la résolution de l'intrigue se jouant sur la génétique, qui me fascinait déjà à cette époque, explique que c'est ce que j'ai retenu essentiellement, ce qui m'a d'ailleurs permis de prendre en exemple la ressemblance entre Hugo le lointain ancêtre et Stapleton pour étayer mon article sur le patrimoine génétique et généalogique que j'avais écrit pour mon site "les écrits de Sherry-Yanne", il y a quelques années en arrière.
Si mes souvenirs sont bons (1973, ça commence à faire un bail), le jeune Henry revient du continent américain car son oncle Charles de Baskerville est décédé d'une crise cardiaque un soir sur la lande. Il se passe des choses insolites et sur les conseils du Docteur Mortimer, il vient à Londres, pour demander conseil à Sherlock Holmes et son fidèle Watson. le Docteur Watson repart avec le Docteur Mortimer et Sir Henry, pendant que Holmes, sans leur révéler son plan, se cache dans la lande pour observer discrètement l'évolution de la situation.
On y a vu un chien monstrueux et phosphorescent que l'on dit surgi tout droit de l'enfer, comme celui qui emporta l'ancêtre de la dynastie, le fameux Hugo, et depuis une légende se transmet de génération en génération, racontant que si un membre Baskerville aperçoit ledit chien, il meurt prochainement.
Les voisins du manoir Baskerville sont les Stapleton, qui se présentent comme frère et soeur, malgré le fait que le "frangin" est un possessif avec sa "soeurette".
Il ne faut pas oublier le majordome et son épouse qui ont un comportement bizarre, mais cela s'expliquera plus tard par le fait que le bandit échappé de la prison voisine et qui erre dans la lande est le frère de madame, et son époux lui porte à manger par pitié pour son épouse, chagrinée de savoir son frère sans abri et sans nourriture.
De fil en aiguille, l'intrigue prend forme avec ses différentes péripéties et Sherlock Holmes résoudra l'affaire, en observant les portraits de famille de tous les Baskerville, ayant vécu dans ce manoir depuis presque 300 ans, car il a noté des traits communs entre l'ancêtre Hugo et un protagoniste du présent.
Le pauvre chien n'était lui aussi qu'une victime collatérale d'une vengeance effroyable, amplifiée par la jalousie, le désir de nuire, et l'appât du gain.
Cet ouvrage fut mon premier "Sherlock" mais il ne fut pas le dernier car j'en ai lu beaucoup d'autres dont j'ai parfois oublié le nom pour certains.
Ci-dessous, je mets le lien de l'article sur mon site, ou je parle du patrimoine génétique transmis avec le patrimoine généalogique, où je prends comme référence entre autres, la ressemblance de sir Hugo avec l'auteur de la machination diabolique.
Lien : http://www.sherryyanne.com/
http://www.sherryyanne.com/pages/genealogie/patrimoine-genetique-et-genealogique.html